En tournée, en création

 
 

IL FAUDRA QUE L’ON S’AIME

2025

 CHATEAUVALLON LIBERTE

Du 6 au 10 octobre en itinérance établissements scolaires

📩 cecile.grillon@chateauvallon-liberte.fr

Le 7 octobre, Déjeuner spectacle, Mardi Liberté ! 

 📩 joelle.perrault@chateauvallon-liberte.fr

 LE PÔLE - ART EN CIRCULATION 

Du 1er au 3 décembre dans les établissements scolaires 

📩 Audrey Munier - audrey@le-pole.fr

2026

 LE CARRÉ SAINTE-MAXIME

Du 9 au 12 février 2026 dans les établissements scolaires 

📩 relationspubliques@carre-sainte-maxime.fr 

 

📆 RSV par retour de mail ou directement avec le lieu.

Il faudra que l’on s’aime raconte en deux épisodes la vie de quelques collégiens/lycéens qui s’engagent, cherchent, balbutient, hurlent. Ces jeunes gens (et leurs professeurs baroques, follement investis et/ou totalement déprimés) trouvent que la langue dit trop ou pas assez, qu’il faut agir, que l’époque dévaste, que personne ne fait rien, que l’amour ne commence pas toujours sur des lèvres et découvrent autour d’un événement, d’une action, d’un cours d’éducation sexuelle ou d'empathie la force du groupe.

C’est quoi être ensemble ? Faire expérience ensemble ? Décider de changer les choses et peut-être réparer ensemble ?

LECTURE MAGISTRAL·E·S

2025

Festival FRAGMENTS

THÉÂTRE SIVLIA MONTFORT

15 OCTOBRE à 19h, 16 OCTOBRE à 14h et 16h30

RSVP Théâtre ou Cie 📩

Un procès comme une tempête dans laquelle quatre femmes se débattent, se battent et sauvent pour rejouer chaque soir avec le public, l’histoire du consentement, de l’éducation du sexe des femmes et des hommes, arrachant notre intime conviction, notre capacité de jugement, nos droits de cité autant que nos rires, nous tendant ce miroir du monde à accepter. L’audience est ouverte, levez-vous !

MAGISTRAL·E·S est une écriture inspirée d’un procès qui a vu naître la loi sur le non consentement des mineurs de moins de 15 ans. Après une immersion dans le monde judiciaire Alexandra Cismondi construit au plateau, mêlant publics et comédiens, une audience fantasmée dans laquelle se rejoue l’histoire de cette humanité égarée qui ne sait pas quoi faire du mot viol, racontant les monstres, les masques et portant haut ces femmes, mères, veuves, sorcières, en PMA, en plein avortement, accrochées à la barre d’un tribunal ou d’un cours de pole dance, qui font de la justice un système en marche quelques en soient les moyens et de leur vie le théâtre de celle de leurs concitoyens. Qui sont ces femmes et comment une instruction transforme leur ADN autant qu’elles, façonnent chaque trait et syllabe d’un procès ?